« Mon père m’a mis dans la tête de m’y marier ; croyant ma fortune faite, je l’ai accepté. Il m’a donné une femme qui est sans raison... » Il lui faut laver la vaisselle, bercer le petit, lui faire de la bouillie, lui torcher le derrière. « Encore la grande vilaine, elle grince des dents. » (D’après Bujeaud.)
La version Gauthier-Villars ajoute ce couplet : « Bon, bon, bon, ma femme est morte, m’voilà bien content, je ferai rouler carrosse, j’aurai meilleur temps. Quand j’allais jusqu’à l’auberge fallait me cacher, maintenant qu’ma femme est morte j’pourrai y aller. »

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