« Dedans Paris y a un’ joli’ couturière. » Son amant l’emmène au bois et, là, il commence à la déshabiller. Elle s’écrie alors : « – Chez mon père ya trois beaux chevaux, la nation n’a rien de si beau, si tu veux me quitter, je te les donnerai. » Le galant la laisse aller. « Quante la belle y fut chez son père bien sûre, commenc’ par lui montrer trois chevaux en peinture. – Ces ch’vaux d’mon père me sont rien, mais mon honneur il m’appartient. Retir’ toi, gros lourdaud, jamais tu n’auras rien... » (D’après CoiraultF, 179.)