« C’est le curé de not’ canton (bis) qui nous défend d’être galant, dondaine, dondaine. Oh ! le curé défend ce qu’il fait bien lui-même. Je l’ai vu derrière le couvent avec une fille de dix-huit ans. Sa mère arrive sur le moment : – Que faites-vous à mon enfant ? – Je lui comptais toutes les dents. Lui en manque une par devant et je lui pose en ce moment. » (D’après Coirault.)