« – Mon beau galant, venez ce soir, mon papa n’y s’ra pas. » Ainsi est fait mais « le beau galant fut pas au lit, hélas ! qu’il s’endormit. » Au matin, il se fait rabrouer : « – Je me moqu’ bien de ton bonjour, tu n’as pas mes amours. » Il veut s’excuser : « – Je reviendrai demain au soir, je ferai mon devoir. » Mais il n’est plus temps : « – Pendant qu’t’avais la caille au blé, il fallait la plumer ; du temps qu’t’avais la fille au lit, fallait la divertir. » (D’après Barbillat.)
Version 3 :
Quand j’étais jeune en dix-huit ans, j’étais toujours galant…
Incipit : Quand j’étais jeune en dix-huit ans, j’étais toujours galant / Toutes les filles qui m’y voyaient, s’entredisaient Structure : 5 couplets de 2 vers avec ritournelle Type : Texte, Notation musicale Ouvrage :Poulain (Albert), Carnets de route - Chansons traditionnelles de Haute-Bretagne, 2011 Position dans l’ouvrage : Livre, p. 282, chant 172 Occurrence dans Coirault : non Occurrence dans Laforte : non
Incipit : Mon père, ma mère, mariez moi / Pourquoi la belle fera Usage : Danse (Ronde de Loudéac) Structure : 14 couplets de 2 vers avec ritournelle Type : Texte, Enregistrement Ouvrage :Dastum, CD, Tradition vivante de Bretagne, vol. 4, Plaignons les coureurs de nuit, 1996 Position dans l’ouvrage : chant 16 a Note : Réinterprétation : LE MAPIHAN Marie-Noëlle. Occurrence dans Coirault : non Occurrence dans Laforte : non
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