« De bon matin je m’suis levée, dans mon jardin je suis allée. Oh ! j’ai trouvé un cordelier, d’amour il m’a voulu parler. Je l’ai bien vite repoussé, mais il voulait recommencer. Oh ! j’ai crié : – À mon honneur, cordelier veut avoir mon cœur ! » Aidée d’un voisin, elle le frappe à coups de sabot et lui déchire son manteau. « Quand au couvent fut arrivé, fut bien penaud le cordelier. – Nous vous mettrons au pain, à l’eau, la discipline sur le dos… » (D’après Millien.)
Dans la version Smith, la belle bat le cordelier parce qu’il lui a « volé son pain au four ».
Référence Laforte : II O 6 Titre Laforte : Cordelier battu (Le) Rubrique Laforte : II - Chansons strophiques / O - Chansons sur l’état civil et les conditions sociales