Distro d’an enklask
Resisadurioù diwar-benn ar c’han-skouer
Bécam :
Dave Bécam : B-00365
Tem : Keuz ar merc’hed
Coirault :
Dave Coirault : 54 12
Titl Coirault : Marié qui va se consoler à l’auberge (Le)
Diverradur Coirault :
« Oh ! quand j’étais chez mon père petit enfant sans souci, je m’en allais parmi ces champs voir ces bergères, je n’étais pas comme à présent dans la misère. » Il va se consoler à l’auberge. Sa femme vient l’y chercher. Elle le ramène à la maison. « J’entends le traintrain du berceau à mes oreilles, ce n’était plus le doux plaisir de la bouteille. »
La chanson se clôt par le couplet passe-partout : « Les montagnes sont de pierres, le soleil ne les fond pas ; mais le soleil ne les fond pas, non plus la lune, tout jeune garçon à marier cherche fortune. » (D’après deux des versions recueillies par Coirault.)
Coupe Coirault :
6 FMMFMF 778484
6 FMMFMF 888484
Rubrik Coirault : 54 - Soucis, inconvénients du mariage ou du ménage
Laforte :
Nan-renablet
Listenn stummoù resis
(1 stumm resis,
2 degouezh
)
- Dastumer : POULAIN Albert
Kaner : JOUAN Eugène
Deizad an dastum : A-raok 1976
Lec’h an dastum : Saint-Jean-la-Poterie (56)
-
Stumm resis 1a :
Quand j’étais de chez mon père je n’avais souci de rien…
Incipit : Quand j’étais de chez mon père je n’avais souci de rien / Je m’en allais parmi ces champs
Structure : 5 couplets de 6 vers
Rummad : Testenn, Muzik dre skrid
Levr : Poulain (Albert), Carnets de route - Chansons traditionnelles de Haute-Bretagne, 2011
Lec’h el levr : Livre, p. 172, chant 87
Occurrence dans Coirault : ket
-
Stumm resis 1b :
Quand j’étais de chez mon père…
Incipit : Quand j’étais de chez mon père / Je n’avais souci de rien
Structure : 5 couplets de 6 vers
Rummad : Testenn, Enrolladur
Levr : Dastum, CD, Tradition vivante de Bretagne, vol. 12, Albert Poulain - Y’a rien de plus charmant …, 1999
Lec’h el levr : chant 19
Notenn : Réinterprétation : POULAIN Albert.
Occurrence dans Coirault : ket
Gwelout al levr e pdf
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