« Un soir en me rendant de vêpres j’ai trouvé ma mie sur son lit qui faisait semblant de dormir. » Tout en la caressant, l’amant lui enlève sa bague. Dispute. Il est accusé de se moquer de la belle ; il s’en défend en affirmant qu’il n’est point un moqueur de filles. Alors (selon les versions et selon la tournure plus ou moins ironique de ce couplet) il y aura réconciliation ou rupture, laquelle conduira l’amant au cabaret où il restera jusqu’à ce que sa bourse soit vide.
Référence Laforte : II E 29 Titre Laforte : Galant a fait l’amour à cent cinquante (Le) Rubrique Laforte : II - Chansons strophiques / E - Chansons idylliques
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(6 versions,
8 occurrences
)
Collecteur :GEFFREDEAU Date de collecte : Avant 1861 Lieu de collecte :Blain (44)
Incipit : Ce sont les dames de Paris / Dans les jardins j’entends un bruit Structure : 10 couplets de 2 vers avec refrain Type : Texte, Notation musicale Ouvrage :Poulain (Albert), Carnets de route - Chansons traditionnelles de Haute-Bretagne, 2011 Position dans l’ouvrage : Livre, p. 61, chant 10 Occurrence dans Coirault : non Occurrence dans Laforte : non
Incipit : C’était par un beau jour de fête / M’en revenant de la grand-messe Structure : 6 couplets de 4 vers Type : Texte, Notation musicale Ouvrage :Poulain (Albert), Carnets de route - Chansons traditionnelles de Haute-Bretagne, 2011 Position dans l’ouvrage : Livre, p. 416, chant 273 Occurrence dans Coirault : non Occurrence dans Laforte : non